Oui je me fixe toujours des objectifs. Ça m aide à organiser mon travail. Mes objectifs sont toujours axé sur mes points faibles.
Pareil.
Je m'axe sur un point faible et tant que je ne l'ai pas maitrisé, je ne passe pas à autre chose.
Ou du moins, je ne lâche pas ce thème de travail considéré comme prioritaire.
Après quand le corps a assimilé la correction, je passe à autre chose.
Ca peut durer des années. Les 5 premières années d'étude n'ont été axées que l'équilibre, pour ne prendre que cet exemple là.
Au fur et à mesure que je corrige des problèmes, j'en trouve d'autres à travailler, c'est sans fin, je ne sais pas , en tous cas, cette étude me tiens en éveil depuis 25 ans et on dirait que ce n'est pas près de cesser. Là, je travaille sur mes déplacements depuis le début de la saison, j'ai trouvé un truc (je crois ...) et accessoirement un autre détail qui va de pair.
Ca a l'air de marcher ...
Je ne me suis jamais fixé d'objectifs de grade ni de compétitions par contre, je n'ai fait ça que quand ça se présentait et encore, les compétitions ... parce que c'était mal vu de ne pas y participer.
Mais dans les stages nationaux (fédéraux) aux quels je participais, souvent il y avait au programme des passage de grade et compétition, donc ...
J'y allais aussi par solidarité avec le club, faire "acte de présence" pour la Fédé, bref plus pour des raisons politiques que passionnelle. Le plaisir était surtout de voir et revoir les pratiquants de partout ailleurs, des copains qu'on était devenu au fil du temps.